Le 22 avril 2012, premier tour de l’élection présidentielle, j’avais prévu d’aller faire la randonnée pédestre d’un village des environs avant d’aller voter mais, en écartant les draps, j’ai découvert Marie encore somnolente, allongée sur le ventre et la nuisette remontée aux épaules, qui m’offrait le spectacle auquel je n’ai jamais su résister : elle écartait à deux mains ses fesses en pomme. Pas besoin de paroles, nous avons ainsi des codes intimes ; l’invitation était claire : « Lèche-moi bien l’anus et encule-moi ».

Bien que se léchant le cul et s’enculant depuis plus de cinquante ans, nous jouissons toujours autant à le faire. D’abord, je m’enfile dans le trou du cul l’habituel gode qui me dilate bien le sphincter mais tient bien en place quelles que soient nos acrobaties. Ensuite, écartant bien les fesses de Marie, j’arrive faire pénétrer ma langue de plusieurs centimètres dans l’intestin, elle en frétille d’aise aussi longtemps que je peux soutenir l’effort. Long pilonnage, très excitée, ma bite bute bien au fond de son cul, encore et encore. Surtout ne pas jouir pour continuer longtemps. Dès que ma bite sort du fourreau, Marie ouvre grand la bouche, je la baise jusqu’au fond de la gorge tant qu’elle peut respirer. Ma langue de nouveau au bas de son ventre, sur le clito, dans la chatte et dans le cul.

En général, à ce stade, c’est la langue de Marie dans mon fondement. Variante aujourd’hui : enlevant le plug de mon cul, je le lui fais longuement lécher, le lui plante entre les fesses et lui demande de fister mon anus béant ; elle s’exécute puis va chercher un plug de 75 mm, et me le plante, pousse bien au fond comme d’habitude. On pourrait s’arrêter là mais ma salope a une idée : « On va aller voter avec tous les deux un plug dans le cul ».

Excellente initiative, j’applaudis.

Nous aurions aimé y aller à poil pour que nul n’ignore nos culs dilatés, mais ce n’est pas légal, on aurait des ennuis, ce n’est pas ce qu’on cherche. On enlève les plug pendant le petit déjeuner, puis on les remet, nouvelle occasion de se peloter les fesses, la bite, les couilles, la chatte et le clito ; et on s’équipe tous les deux d’un harnais tenant les bouchons bien en place et les culs bien dilatés.

Marie enfile une minijupe décolletée, moi juste un short moulant et un tee-shirt, on voit qu’il y a le harnais sous le short, le plug fait même une bosse à l’endroit intéressant. Je me gare en voiture dans la cour de l’école où est le bureau de vote et on va donner un président à la France. Deux isoloirs côte à côte, j’en profite pour soulever le rideau entre nous, peloter les fesses et le ventre de ma moitié. Tandis qu’on fait la queue pour déposer le bulletin, je me demande combien de ces gens ont ce matin un plug au cul ; peut-être le maire. L’idée fait marrer Marie, mais j’ai bien l’impression que nous étions les seuls, les citoyens ne pensaient qu’éliminer le représentant du camp d’en-face. Regrettant aujourd’hui leur choix, ils auraient mieux fait de nous imiter.

Retour la maison ; il est bien trop tard pour aller respirer le bon air de la campagne ; nous avons terminé la matinée à poil dans le lit conjugal dont les miroirs associés en ont vu de bien belles !